En 1984, Dragon's Lair fut une véritable bombe dans les salles d'Arcades. L'animation signé par nul autre que Don Bluth contrastait monstrueusement avec le visuel pixelisé des productions de l'époque et requérait beaucoup moins d'imagination que ces derniers. C'est également l'une des premières intentions cinématographique du jeu vidéo. Comparativement à aujourd'hui où les productions AAA se réfugient dans une cinématographie (parfois contraignante) pour atteindre un publique plus large, Dragon's Lair constitue une fausse promesse. Tout comme The Last Express de Jordan Mechner et Heavy Rain de David Cage, nous pouvons nous interroger sur l'intérêt d'un jeu/film tant la notion d’interactivité ne va toujours pas plus loin que la jouabilité bien creuse de ce classique.
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