samedi 19 décembre 2015

Ce que j'ai joué récemment ; Mass Effect 2



Si le premier Mass Effect était une expérience cahoteuse, il faut avouer que Bioware à reçu le mémo pour s'assurer que la suite gommerait tout ses défauts. C'est certainement réussi à un point ou on peu se demander si c'est encore un RPG tant le nombre de systèmes et la customisation de ses personnages ont été supprimés. Mais si on compare à d'autres production AAA qui continue d'ajouter des fonctionnalité chiantes que personne ne demandait, ce n'est pas moi qui s'en plaindra.
Les combats sont mieux gérés et plus nerveux mais on peut se demander pourquoi le développeur n'a pas plutôt supprimé entièrement le côté RPG et simplement délivrer un shooter. Je trouve toujours un peu étrange de vider un chargeur de munition en plein tête et porter plus attention à une barre de vie.
C'est un jeu qui va droit au but en misant sur l'histoire et son univers SF pure jus. C'est pourquoi, la satisfaction du titre viendra par la trame narrative. L'arc principal, qui tient sur un post-it, n'y sera pas pour grand chose car ce sont toutes les nombreuses histoires, et DLCs ridiculement bons, en à coté qui engagerons le joueur.
Bioware à fait ses devoirs, Mass Effect 2 est le Mass Effect 1 qu'on aurait dût avoir. Ses combats bien nerveux sont satisfaisant et l'histoire, bien que nécessaire à l'expérience, fait le nécessaire pour nous maintenir engagé. Ça mérite un B+ et un autocollant Bob l'Éponge.

lundi 7 décembre 2015

Ce que j'ai joué récemment : Rage



Rage est un peu comme un essai de modernité pour Id Software. Les inventeurs du FPS moderne ayant eue beaucoup de mal à se caser dans la modernité, il est intéressant de les voir tenter de nouvelle idées. On aura beau penser à Fallout ou Borderlands en le jouant, Rage se dégage par une prise en main et une retenu qui se contente de l'essentiel. Pas de points d'exp ou de mécanique de RPG mais plutôt un shooting viscérale où l'on sait l'impacte qu'a chaque coup.
L'un des points les plus marquants reste le déplacements des ennemis qui n'hésiterons pas à sauter à travers le décor, s'agripper à la tuyauterie au plafonds ou faire des roulades au sol. Les premières heures de jeux en sont tout autant déroutante même pour les tireurs les plus aguerris. C'est pourquoi il est dommage de ne pas voir le même traitement chez tout les types d'ennemis, en particulier ceux qui reste bêtement plantés devant le joueur en attendant de se faire dégommer.
Les phases de course est sans doute le gameplay qui brisera ou cassera l'expérience de jeu. Même si extrêmement bien exécutées, ces phases se révèlent sans grandes conséquences une fois qu'on aura bouclé l'aventure. On en dira de même pour le crafting qui se rajoute à l'arsenal déjà surpuissant et abondant.

C'est une bonne remise en forme pour Id même si, à vouloir faire comme tout le monde, s'est peut-être trop contenter de cocher les éléments d'une liste bien convenu.