tag:blogger.com,1999:blog-4825036061404783752024-03-12T23:05:57.883-07:00Jipi ManAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/02828326996428680562noreply@blogger.comBlogger167125tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-51490057242374965472015-12-19T09:31:00.003-08:002015-12-19T09:31:49.531-08:00Ce que j'ai joué récemment ; Mass Effect 2<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/2gz0y_ewnnM/0.jpg" src="https://www.youtube.com/embed/2gz0y_ewnnM?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div>
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Si le premier Mass Effect était une expérience cahoteuse, il faut avouer que Bioware à reçu le mémo pour s'assurer que la suite gommerait tout ses défauts. C'est certainement réussi à un point ou on peu se demander si c'est encore un RPG tant le nombre de systèmes et la customisation de ses personnages ont été supprimés. Mais si on compare à d'autres production AAA qui continue d'ajouter des fonctionnalité chiantes que personne ne demandait, ce n'est pas moi qui s'en plaindra.<br />
Les combats sont mieux gérés et plus nerveux mais on peut se demander pourquoi le développeur n'a pas plutôt supprimé entièrement le côté RPG et simplement délivrer un shooter. Je trouve toujours un peu étrange de vider un chargeur de munition en plein tête et porter plus attention à une barre de vie.<br />
C'est un jeu qui va droit au but en misant sur l'histoire et son univers SF pure jus. C'est pourquoi, la satisfaction du titre viendra par la trame narrative. L'arc principal, qui tient sur un post-it, n'y sera pas pour grand chose car ce sont toutes les nombreuses histoires, et DLCs ridiculement bons, en à coté qui engagerons le joueur.<br />
Bioware à fait ses devoirs, Mass Effect 2 est le Mass Effect 1 qu'on aurait dût avoir. Ses combats bien nerveux sont satisfaisant et l'histoire, bien que nécessaire à l'expérience, fait le nécessaire pour nous maintenir engagé. Ça mérite un B+ et un autocollant Bob l'Éponge.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02828326996428680562noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-6148777185417924462015-12-07T21:23:00.000-08:002015-12-07T21:23:32.078-08:00Ce que j'ai joué récemment : Rage<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe allowfullscreen="" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/XPFEH8z54-s/0.jpg" frameborder="0" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/XPFEH8z54-s?feature=player_embedded" width="320"></iframe></div>
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Rage est un peu comme un essai de modernité pour Id Software. Les inventeurs du FPS moderne ayant eue beaucoup de mal à se caser dans la modernité, il est intéressant de les voir tenter de nouvelle idées. On aura beau penser à Fallout ou Borderlands en le jouant, Rage se dégage par une prise en main et une retenu qui se contente de l'essentiel. Pas de points d'exp ou de mécanique de RPG mais plutôt un shooting viscérale où l'on sait l'impacte qu'a chaque coup.<br />
L'un des points les plus marquants reste le déplacements des ennemis qui n'hésiterons pas à sauter à travers le décor, s'agripper à la tuyauterie au plafonds ou faire des roulades au sol. Les premières heures de jeux en sont tout autant déroutante même pour les tireurs les plus aguerris. C'est pourquoi il est dommage de ne pas voir le même traitement chez tout les types d'ennemis, en particulier ceux qui reste bêtement plantés devant le joueur en attendant de se faire dégommer.<br />
Les phases de course est sans doute le gameplay qui brisera ou cassera l'expérience de jeu. Même si extrêmement bien exécutées, ces phases se révèlent sans grandes conséquences une fois qu'on aura bouclé l'aventure. On en dira de même pour le crafting qui se rajoute à l'arsenal déjà surpuissant et abondant.<br />
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C'est une bonne remise en forme pour Id même si, à vouloir faire comme tout le monde, s'est peut-être trop contenter de cocher les éléments d'une liste bien convenu.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02828326996428680562noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-63119243725243977192015-11-01T18:31:00.001-08:002015-11-01T18:31:41.607-08:00Amnesia: The Dark Descent (PC)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/JEHPwAvrc_U/0.jpg" src="https://www.youtube.com/embed/JEHPwAvrc_U?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div>
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S'il est une sphère que la littérature Lovecraftienne aura su s'intégrer, c'est bien le jeu. Le jeu de rôle Call of Cthulhu est un exemple fort notable pour nous permettre de nous plonger dans l'horreur cosmique et innommable. Le jeu vidéo quand à eue à quelques essais comme Call of Cthulhu : Dark Corner of the Earth ou <a href="http://jipiman.blogspot.ca/2015/06/ce-que-jai-joue-recemment-eternal.html">Eternal Darkness</a> en sont des exemples bien sentis (bien q'imparfaits).</div>
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Amensia n'est pas nécessairement originale. Son gameplay est un mélange entre Clock Tower (1995, SNES) et quelques bribes de Myst et Bioshock. Sa force est dans son atmosphère. Les sons très travaillés, les décors regorges de détails bien glauque et tout est fait pour mettre le joueur dans un état de clostrophobie sans que ça devienne un facteur de frustration.</div>
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C'est peut-être un peu ou le bas blesse. Les développeurs suggèrent aux joueurs, dès l'ouverture du jeu, de mettre de côté la méta de leur oeuvre. Le joueur doit éviter toute confrontations avec les ennemis. Mais, ceux-ci se montre extrêmement prévisible ce qui viens grandement diminuer l'impacte des quelques mécaniques de jeu.</div>
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Au final, le thème et la narration du jeu sont très travaillé au point que le reste est eue la même attention. C'est tout de même un jeu marquant qui je pense, serait une bonne introduction au genre.</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02828326996428680562noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-17269122143268689052015-07-01T07:28:00.002-07:002015-07-01T07:28:59.620-07:00Ce que j'ai joué récemment : Sin & Punishment - The Star Successor (Wii)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/xfKqBewDtC0/0.jpg" src="https://www.youtube.com/embed/xfKqBewDtC0?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div>
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<i>Sin & Punishment - The Star Successor </i>est la suite d'un jeu exclusif au Japon sortit sur N64. L'original reste à ce jour, à mon avis, le meilleur jeu d'action sur la console et il fut bien surprenant de voir sa suite sortir ici en Amérique du Nord.<br />
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C'est un rail shooter ou le joueur déplace son avatar avec le stick et vise à l'écran avec le pointeur de la Wii Remote. Comme son prédécesseur, le principe est simple mais devient vite nerveux avec sa difficulté exponentielle, des niveaux bien rythmés et des hordes d’ennemis à flinguer.<br />
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C'est une excellente suite que nous donne <i>Treasure</i>, mais qui n'est pas sans défauts. Certains boss exposent quelques éléments de jouabilité un peu brute et qui aurait eue mérite à repenser l'exécution (en particulier l'attaque corps à corps). Beaucoup de gens seront également rebutés par les derniers passages qui deviennent littéralement du bullet hell.<br />
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Je pense avoir eue un excellent moment avec ce jeu qui s'installe au moins parmi les classiques de la Wii dont aurait aimé que plus de gens y joue. C'est un must pour les amateurs de scoring.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02828326996428680562noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-72051696615309561682015-06-30T10:24:00.001-07:002015-06-30T10:24:43.319-07:00Ce que j'ai joué récemment : Sonic Adventure (Sega Dreamcast)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe allowfullscreen="" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/A2wzZt9SVuA/0.jpg" frameborder="0" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/A2wzZt9SVuA?feature=player_embedded" width="320"></iframe></div>
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Sega n'avait pas vraiment le choix de frapper fort après l'échec prématuré de la Saturn. Un line-up de jeux trop mince n'était pas au menu quand il fut question de la Dreamcast. Des capacités visuelles sans précédent, une énergie que l'on avait pas vu depuis longtemps chez le constructeur nippon. Le jeu en ligne qu'on ne faisait qu'aborder sur console ont marqués ce qui fut le chant du cygne de Sega. La PS2 n'était encore qu'un rêve et j'ai chié dans mes culottes en voyant les graphismes d'une rapidité et d'une fluidité que je ne pouvais pas concevoir auparavant. La Dreamcast fut la dernière console à m'impressionner à sa simple idée. Ce n'est qu'une dizaine d'année plus tard que je me suis procuré la Dreamcast et ce jeu que je rêvait de joué dans sa totalité depuis 1998. Ouaip...</div>
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À l'époque on ne s'impressionnait de pas grand chose (presque autant qu'aujourd'hui). Le jeu démarre sur des élans Rock fin 90 bien pourris. Une fois passé l'intro au animations faciale hyperactives et aux doublages bien nanards, le premier niveau se déroule sans problèmes avec un Sonic fun et simple dans ce qui est techniquement sa première aventure en 3D. À partir de là ça va en se dégradant.</div>
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Le jeu est divisé en différentes campagnes pour chacun des personnages. Apportant chacune une variation ou une jouabilité différente des niveaux vus avec Sonic. Certains, comme Knuckles, auront des résultats désastreux en imposant au joueur des phases d'exploration bidon dans des niveaux mal foutus. Je ne parle même pas de Egg qui consiste en un mini jeu de pêche...</div>
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Le hub world est bien loin du chateau de Super Mario 64. Le joueur ne sait jamais trop ou aller, à tel point que les développeurs se sont senti le besoin de mettre une aide qui dit carrément où aller. L'exploration est récompensé par des collectibles, mais les environement (très vastes pour l'époque) semblent vides et mal exploités.</div>
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C'est un jeu qui ne plaira qu'au nostalgique de la Dreamcast. Il faudra attendre encore attendre avant d'avoir un Sonic en 3D potable. Presque 20 ans plus tard la poudre aux yeux n'est plus que poussière.</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02828326996428680562noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-31368574885896790472015-06-22T15:51:00.002-07:002015-06-22T15:51:37.305-07:00Ce que j'ai joué récemment : Max Payne 3 (PC)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/GdkqXQS2Zlk/0.jpg" src="https://www.youtube.com/embed/GdkqXQS2Zlk?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div>
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Le plus pathétique des officiers de police new-yorkais reviens dans un 3ième opus qu'on ne demandais pas. <i>Rockstar </i>ne gardera pas le côté sordide et surréaliste des classiques de <i>Remedy</i> au profit d'une cinématographie de cinéaste wannabe (<i>Man on fire</i>, really?). Ce ne sont pas non plus les narratifs de Payne qui ne réalise visiblement pas à quel point lui (et son jeu) sont devenus des caricatures d'eux-mêmes.<br />
Un peu plus lent, un peu plus fatigué, Max se trimbale avec quelques améliorations plus modernes (système de couverture, tir au sol et etc). Ce jeu de tir on ne peut plus arcade aura du mal à justifier sa campagne trop longue et son multijoueur bouche-trou que les joueurs ont délaissés depuis belle lurette.<br />
Max Payne 3 est comme le gars avec qui on passe du bon temps mais qui finit par devenir lourd une fois saoul. C'est le moment de lui dire ''Bon, ok rentre chez toi. Tu as assez bu.''Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02828326996428680562noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-56277785463004377972015-06-16T11:36:00.002-07:002015-06-16T11:36:57.204-07:00Ce que j'ai joué récemment : Eternal Darkness (Gamecube)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe allowfullscreen="" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/b5ZRc9Mzgds/0.jpg" frameborder="0" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/b5ZRc9Mzgds?feature=player_embedded" width="320"></iframe></div>
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L'héritage le plus important du défunt studio Silicon Knight reste à ce jour Eternal Darkness. À une époque ou le genre survival-horror stagnait dans ses arcaismes, Le studio canadien offre un titre rafraîchissant (Et bien glauque aussi) qui offrait un gameplay on ne peut plus fluide comparativement à ses contemporains qui s'efforçaient de reprendre le tank control de Resident Evil.<br />
On ne peut pas dire en revanche que le reste du jeu en est pour autant aussi fortement mûrit. Le système de magie offre plein de possibilités mais seulement quelques sort seront tirés à profit. Même si la maniabilité est excellente, les combats resteront toutefois bourrins et l'orientation du joueur est sans grande finesse.<br />
L'amateur d'horreur ne devrait pas tourner le dos à ce titre atypique pour autant. L'ambiance lovecraftienne et les nombreux bris du 4e mur sont parmi les raisons qui font d'Eternal Darkness un jeu pertinent. Ce n'est pas non plus pour rien que les studios de Konami ont par la suite confié le remake de Metal Gear Solid.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02828326996428680562noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-9740183548076493482015-02-17T07:43:00.000-08:002015-02-17T07:43:38.966-08:00Ce que j'ai joué récemment : The Binding of Isaac (PC)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://ytimg.googleusercontent.com/vi/zIs2IQx7jV0/0.jpg" src="http://www.youtube.com/embed/zIs2IQx7jV0?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div>
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Edmund Mcmillen nous a habitué à la vie dure dans son magistral Super Meat Boy. C'était peut-être le point de départ pour Binding of Isaac. Le joueur s'acharnera constamment pour braver la difficulté dantesque du titre et en être récompensé. Puis, lorsqu'en situation de confort, on lui balancera un cran de challenges supplémentaire. Le design soigné et l'aléatoire rendra chaque session unique en difficulté sans être complètement impossible à chaque fois (ou presque). La nature très addictive du jeu fera que l'on voudra de plus en plus s'enfoncer dans cette enfer au risque d'y laisser une partie de son âme. Chaque victoire nous laissant nous rapprocher de ce que nous craignons ultimement. C'est sans doute la version de la Divine Comédie la plus amusante qui existe.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02828326996428680562noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-69574321317051380702015-02-13T13:02:00.001-08:002015-02-13T13:02:37.106-08:00Ce que j'ai joué récemment : Wolfenstein (2009) (PC)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://ytimg.googleusercontent.com/vi/_S3Ip_qx8NE/0.jpg" src="http://www.youtube.com/embed/_S3Ip_qx8NE?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div>
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Return to Castle Wolfenstein était une suite que l'on ne demandait pas mais, qui amenait son lot de nouveautés. Ce n'est pas tout à fait le cas pour ce reboot de 2009. En vérité, on aura même une impression de déjà vu de Bioshock dans la maniabilité et la progression. Contrairement à ce dernier, la tension est moins présente tellement on nous donne des armes et power ups surpuissants à ne plus finir. On se retrouve avec une impression God-like qui est bien poilante mais, fait qu'on en demande peu au joueur. Tout ça, sans compter les ennemis peu varié qui auront bien du mal à rivaliser avec votre arsenal. L'univers très pulp (ça, ça me plait!) n'impose pas (trop) son histoire boboche dont on oubliera vite les protagonistes.<br />
Ce n'est rien de surprenant venant de Raven software dont on appréciera le recours à la simplicité quitte à tomber dans l'oubli.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02828326996428680562noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-32536010694922648182015-02-12T14:12:00.002-08:002015-02-12T14:12:21.526-08:00Ce que j'ai joué récemment : PAC-MAN Championship Edition DX+ (PC)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://ytimg.googleusercontent.com/vi/LSW1mB2cJ-4/0.jpg" src="http://www.youtube.com/embed/LSW1mB2cJ-4?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div>
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L'éternel Pac-Man vibre toujours malgré son âge. Cette version n'est toutefois pas le jeu original relifté mais plutôt une réinvention. Le jeu détermine des chemins clair qu'ils faut emprunter en passant à côté de Ghosts. Ces derniers se réveillent et se mettent à vous suivre. Votre but est d'avoir le plus grand nombre de Ghosts à votre poursuite pour ensuite les dévorer lorsque vous mangez un Power Pellet. Plus le nombre de fantômes dégusté lors de votre état de Power Pellet est élevé, plus votre score sera élevé et plus la vitesse du jeu sera augmentée.</div>
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La nature courte et rapide du jeu le rend hautement addictif. Les parties s’enchaînent l'une à la suite des autres et on y revient facilement d'autant que le look rétro party incite à y jouer en groupe avec plusieurs observateurs qui passeront chacun leur tour pour établir le meilleur score.</div>
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C'est une réinvention qui vaut franchement le détour pour tout les amateurs de l'âge d'or du jeu d'acrade. On aimerait que l'expérience soit tenté plus souvent.</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02828326996428680562noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-56617819121059780842015-02-10T13:18:00.000-08:002015-02-10T13:18:36.462-08:00Ce que j'ai joué récemment : Gone Home (PC)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://ytimg.googleusercontent.com/vi/ORsSxYDmPx8/0.jpg" src="http://www.youtube.com/embed/ORsSxYDmPx8?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div>
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Vous êtes une jeune femme qui revient chez ses parents après un long voyage. Personne n'est à la maison et vous décidez d'y entrer tout de même pour voir ce qui se trame. Par le biais de l'exploration, vous explorerez les lieux pour en savoir davantage sur votre famille et vous même. Gone Home est sans doute le parfait exemple de la narration par le level design. Aucune cutscene ou NPC bavard à l'horizon n'arrête le joueur dans son exploration. Ce dernier en apprendra plus les gens qui habitent les lieux proportionnellement à son investisment à fouiller chaque racoin. Certaine information vous permettrons également d'en davantage simplement par leur placement. Une note adressée au père, lui disant que son dernier manuscrit à été refusé, en dit long lorsque l'on remarque qu'elle à été rangé près du mini-bar.</div>
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C'est une histoire certe, un peu mièvre mais, tout de même touchante par rapport à son sujet. Brillant!</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02828326996428680562noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-54858287721927863482015-02-09T11:28:00.001-08:002015-02-09T11:28:31.770-08:00Ce que j'ai joué récemment : Dinner Date<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://ytimg.googleusercontent.com/vi/NslGPVH_FdQ/0.jpg" src="http://www.youtube.com/embed/NslGPVH_FdQ?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div>
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Dinner Date est une expérience sur le subconscient. Le joueur, privé de tout contrôle majeur de l'avatar, ne peux que provoquer des réactions comme regarder l'horloge, se gratter, regarder ses mains et etc. L'avatar, qui attend simplement une femme à un rendez-vous galant chez lui, se met alors à ruminer. Le jeu devient alors un commentaire sur l'anxiété et l'impuissance d'agir dans certaines situations comme on peut le vivre fréquemment dans la vrai vie. Une riche idée qui s'avère payante au final.</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02828326996428680562noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-49598836166572345022015-02-08T07:03:00.001-08:002015-02-08T07:03:58.585-08:00Ce que j'ai joué récemment : Costume Quest (PC)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://ytimg.googleusercontent.com/vi/HyoJiLmrkiE/0.jpg" src="http://www.youtube.com/embed/HyoJiLmrkiE?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div>
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Sans atteindre la classe de Earthbound, Costume Quest est une agréable aventure sans grande surprise. Le peu de mécanismes amènera une certain lassitude un peu avant que tout ne soit bouclé. Pas le meilleur de Double Fine mais, on l'apréciera davantage à la période d'Halloween.</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02828326996428680562noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-37731028939459761172015-02-07T12:25:00.000-08:002015-02-07T12:25:40.401-08:00Ce que j'ai joué récemment : Deadlight (PC)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://ytimg.googleusercontent.com/vi/Nhi0O_g24MQ/0.jpg" src="http://www.youtube.com/embed/Nhi0O_g24MQ?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div>
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Le principale défaut de Deadlight est sans doute d'avoir tout mis sur son thème et sa diégèse au détriment des notions de base. Les couleurs désaturées font en sorte que l'on a du mal à distinguer les éléments interractifs et savoir ou se diriger par moments. Celles-cis et une maniabilité un peu lourde, nous mène à des morts particulièrement frustrantes et injustifiées. On peu le comparer en contraste à Limbo qui, contrairement à Deadlight, s'en est sorti en étant moins chargé visuellement et devenant donc clair dans ses intentions. Le joueur traverse les environements et trouve de nombreuses notes de journal tout à fait inintéressantes et qui brisent le rythme du jeu. Un exemple typique du développeur qui voyait son projet plus grand que son concept.</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02828326996428680562noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-74500958752518256922014-10-12T09:05:00.000-07:002014-10-12T09:05:12.756-07:00Ce que j'ai joué récemment : Batman : Arkham City (PC)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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C'est avec perplexité que j'ai entamé le deuxième opus de Rocksteady. La jouabilité certes, toujours aussi fluide reste inchangé. La direction visuelle commence à me dégoûter et l'introduction de cette ville immense d'un seul coup est fort déroutante.</div>
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Pourquoi je considère dans ce cas là Arkham City comme le meilleure jeu adapté de Batman et l'un des meilleure exemple de triple A de sa génération?</div>
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Tout est dans l'amélioration d'un très bon jeu et dans l'attention du détail. Plus d'options, plus de gadgets et de collectibles sont de bonnes choses à amener à une suite. Mais, à chaque découverte et conquête vous deviendrez graduellement maître de votre environnement. Vous investiguerez chaque élément qui vous donnerons un plus ample portrait du tableau qui, une fois complété ne ramènera qu'à une seule conclusion:</div>
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<br /></div>
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Vous êtes Batman. </div>
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<br /><iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.youtube.com/embed/9PxQbuv8I1k?feature=player_embedded' frameborder='0'></iframe></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-89881688809222561672014-09-20T07:40:00.000-07:002014-09-20T07:40:19.342-07:00Ce que j'ai joué récemment : Panzer Dragoon II ZweiPlus gros, plus beau et mieux huilée, Panzer Dragoon II Zwei est le genre de suite que l'on aime. C'est un jeu d'arcade riche qui rivalise facilement avec Star Fox 64 et qui nous tiens du début à la fin. Le seul absent sur le tableau est évidemment la surprise. C'est un incontournable de la Saturn.<br />
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<object width="320" height="266" class="BLOGGER-youtube-video" classid="clsid:D27CDB6E-AE6D-11cf-96B8-444553540000" codebase="http://download.macromedia.com/pub/shockwave/cabs/flash/swflash.cab#version=6,0,40,0" data-thumbnail-src="https://ytimg.googleusercontent.com/vi/Zx5_MiEm7AU/0.jpg"><param name="movie" value="https://youtube.googleapis.com/v/Zx5_MiEm7AU&source=uds" /><param name="bgcolor" value="#FFFFFF" /><param name="allowFullScreen" value="true" /><embed width="320" height="266" src="https://youtube.googleapis.com/v/Zx5_MiEm7AU&source=uds" type="application/x-shockwave-flash" allowfullscreen="true"></embed></object></div>
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Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-55787128098352760232014-07-29T08:55:00.002-07:002014-07-29T08:55:34.256-07:00Ce que j'ai joué récemment : Panzer Dragoon (Sega Saturn)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
C'est <i>Panzer Dragoon</i> qui ouvre le bal de la Sega Saturn avec un combiné d'expériences proches de Sega, notamment <i>Space Harrier</i> et <i>After Burner</i>. La direction artistique se démarque de ses derniers par un certain lyrisme peu commun à l'époque. 2 ans avant <i>Star Fox 64</i>, qui le dépassera sur tout les plans, <i>Panzer Dragoon</i> est un jeu brute qui manque un raffinement technologique que seulement ses suites sauront donner. C'est le prix à gagner quand on ouvre la voie.</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.youtube.com/embed/170eyPKa9aE?feature=player_embedded' frameborder='0'></iframe></div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<br /></div>
NB:
Les artistes du jeux adoraient le travail de Moebius (Jean-Giraud). On
voit les influences et à un tel point que Sega a commander au célèbre
bédéiste des illustrations notamment, la jaquette du jeu au Japon.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://img.gamefaqs.net/box/1/4/2/19142_front.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://img.gamefaqs.net/box/1/4/2/19142_front.jpg" height="320" width="320" /></a></div>
<div style="text-align: center;">
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Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-72888548262452644522014-07-16T14:58:00.000-07:002014-07-16T14:58:03.449-07:00Ce que j'ai joué récemment : Quake 4 (PC)Vu la nature culte de la série, il est étrange de voir ID software confié son bébé à Raven Software (Masi bon, après <i>Doom III</i>...). Heureusement, les grands principes de la série y sont de retour avec plaisir. J'aime particulièrement le fait que mon doigt à gardé la touche ''W'' pendant pratiquement toute la durée du jeu. Il est dommage de voir les développeurs perdre leur temps avec UNE phase de puzzle, quelques allers-retour pour appuyer sur des boutons et peu de nouveautés notables. Je ne me plaindrai pas d'avoir plus de <i>Quake 2</i> au final.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.youtube.com/embed/XXqrCeN7h74?feature=player_embedded' frameborder='0'></iframe></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-66688016631414282622014-07-15T11:38:00.000-07:002014-07-15T11:38:30.156-07:00Ce que j'ai joué récemment : Contra Rebirth (WiiWare)Un mix innatendu entre <i>Contra III : The Alien War</i> et <i>Contra : Hard Corp</i>. La série est toujours chouette mais cette timide entrée ne restera pas dans les anales par manque d'ambitions.<br />
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<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.youtube.com/embed/10qs5ZF9usI?feature=player_embedded' frameborder='0'></iframe></div>
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Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-19950499721569616012014-07-13T06:40:00.000-07:002014-07-13T06:40:20.685-07:00Ce que j'ai lu récemment : Beyond!<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/3/39/Beyond1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/3/39/Beyond1.jpg" height="320" width="209" /> </a></div>
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<br /></div>
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Une troupe de héros atypique se retrouve transportée par une entité, le Beyonder, sur une planète où ils devront se battre à mort pour retrouver le chemin de la terre. Ils découvriront assez vite que quelque chose cloche à cette prémisse familière.</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Un livre à 5$, chouette ! Non, pas vraiment. </div>
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Une histoire avec des héros méconnu qu'on aimerait bien qu'ils soient charismatique pour justifier leur pertinence. Les enjeux dramatique manque alors complètement de poids. Ils sont même l'air plus idiot qu'autre chose quand on peux voir la faille dans leur plan 10 mile à l'avance. Les revirement ne font pas plus de sens. On arrive à la fin avec le sentiment que rien n'a été accompli. La référence à <i>Secret Wars</i> ne fait que me demander pourquoi je ne lis pas plutôt cette histoire à la place. Contrairement à ce que son auteur voudrait bien, la présence de violence gratuite ne donne pas non plus l'impression que les protagonistes sont des badass. Ça tombe plutôt dans le naze style années 1990s.</div>
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Ce même style qu'on retrouve dans le dessin complétement à la ramasse. Le manque de structure est accentué par l'encrage effectué à la va-vite. Les couleurs passent d'un extrême à l'autre avec des dégradé photoshop bâcles et des tons fluo. Ce qui nous donne au final un visuel très boueux.</div>
<div style="text-align: justify;">
Parfois, on cherche les aubaines dans les baques de solde. C'est quand même cool de trouver plein de BD pour pas chère. Puis, on se rend compte que certains livres ont une raison d'être à rabais. <i>Beyond!</i> se devrait d'y rester.</div>
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NB: Cudos à la couverture qui ment en suggérant un Spider-Man au centre de l'histoire. Il n'y est pas vraiment.</div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-12585667457831607452014-07-04T05:56:00.000-07:002014-07-04T05:56:24.024-07:00Ce que j'ai joué récemment : Quantum ConundrumSi fortement comparé à <i>Portal,</i> <i>Quantum Conundrum</i> cumule les bévues que le jeu de Valve ne fait pas. Physique imprécise pour ce qui nous est demandé, narrateur qui se croit drôle (Malgré le talent de John Delancy qui fait avec ce qu'il a) et phases de plateforme bidons sont parmi les nombreux irritant du jeu. Résoudre un puzzle dans Portal nous offrait la satisfaction et le sentiment d'être brillant, <i>Quantum Conundrum </i>nous donne l'impression d'être un chimpanzé qui viens de gosser sur un manège débile pour recevoir une banane pourrie à la sortie.<br />
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<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.youtube.com/embed/zTPxN3ai5vc?feature=player_embedded' frameborder='0'></iframe></div>
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-36255083439474958362014-06-20T12:43:00.000-07:002014-06-20T12:47:08.626-07:00Ce que j'ai joué récemment : Prince of Persia<div style="text-align: justify;">
Je ne parlerai évidemment pas ici de la qualité de l'animation orchestré par le jeune Jordan Mechner. Mon point ici sera plutôt de vous exposer la transition du jeu d'arcade vers le jeu de salon et d'ordinateurs personnels qui s'est produite à cette époque. </div>
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<br /></div>
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Du début jusqu'au milieu des années 1980, la majorité des jeux vidéo s'étalaient sur un seul écran d'où un problème à résoudre était demander au joueur. Des pionier comme Richard Garriott (connu surtout pour la série <i>Ultima</i>) arriverons assez vite avec le moyen d'agrandir l'espace de jeu et donnant par le fait même de plus grandes capacités diégétique aux désigners.</div>
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Tout comme <i>Legend of Zelda</i> (aka le <i>Skyrim</i> de 1986), Prince of Persia était parmi ceux qui ont amené le jeu basé sur l'exploration. En revanche, la culture dominante du design Arcade est encore forte et Mechner insère dans son jeu l'élément du temps. Le joeur à 60 minutes pour compléter les 12 niveaux que composent <i>Prince of Persia</i>. On voit tout de suite le design classique du Risk vs Reward. Dois-je prendre le temps d'aller voir ce qu'il y a là au risque de perdre du temps? </div>
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Là où réside la contradiction est justement dans la mesure où on nous offre des niveaux qui peuvent être très vaste à esplorer et où nous sommes constamment pressé par l'horloge. Le joueur se voit l'obligation de se dépêcher ce qui le mène à faire davantage d'erreurs. Il ne pourra alors triompher que par pure mémorisation des niveaux qui, malgré leur mise en scène et navigation soignée pour l'époque, tentera à de nombreuses reprises de retarder le joueur dans sa quête. On notera d'ailleurs que l'élément temps sera tout de suite éliminé dans la majorité des suites de la série.</div>
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Mais, Prince of Persia ne fait pas forcément parti de ces jeux qui ont mal vieillis. On y prend goût vite par sa simplicité et il est fort recommandable ne serais-ce qu'à sujet d'études. </div>
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<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.youtube.com/embed/6dOhUCvqV7o?feature=player_embedded' frameborder='0'></iframe></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-32783282422613567112014-05-24T12:54:00.004-07:002014-05-24T12:54:53.062-07:00Ce que j'ai joué récemment : FEZ (PC)<div style="text-align: justify;">
FEZ est un jeu de plateforme et puzzles de la scène indépendante montréalaise. Plein de bonnes intentions, l'expérience ne lève jamais à des sommets épiques. C'est un jeu doux/amer qui ne tentera pas de couper le souffle du joueur ou de le faire sentir en puissance. On lui verra un important lyrisme nostalgique par sa réalisation et la compréhension de son univers méta. Vous aurez sans doute plus de mal si vous êtes de ceux qui ne comprennent pas la blague</div>
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<object width="320" height="266" class="BLOGGER-youtube-video" classid="clsid:D27CDB6E-AE6D-11cf-96B8-444553540000" codebase="http://download.macromedia.com/pub/shockwave/cabs/flash/swflash.cab#version=6,0,40,0" data-thumbnail-src="https://ytimg.googleusercontent.com/vi/gfDYTuf6M_w/0.jpg"><param name="movie" value="https://youtube.googleapis.com/v/gfDYTuf6M_w&source=uds" /><param name="bgcolor" value="#FFFFFF" /><param name="allowFullScreen" value="true" /><embed width="320" height="266" src="https://youtube.googleapis.com/v/gfDYTuf6M_w&source=uds" type="application/x-shockwave-flash" allowfullscreen="true"></embed></object></div>
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Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-40838472078715457042014-05-05T12:01:00.001-07:002014-05-05T12:01:34.273-07:00Ce que j'ai joué récemment : Demon's Souls (PS3)C'est avec une anticipation croissante que je me suis pris à jubiler chaque instant de ce gouffre ignoble et infâme. Une expérience, même si parfois brouillons, reste méticuleusement construite. C'est en nous donnant un face à face avec les bêtes les plus sombres et les moins séduisantes que From Software parvient à démontrer que l'audace du design peu l'emporter sur la plastique du jeu vidéo.<br />
<br />
Merci à Frédéric (Agatha!) Mathieu qui m'aura assisté tout au long de cette décente.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<object width="320" height="266" class="BLOGGER-youtube-video" classid="clsid:D27CDB6E-AE6D-11cf-96B8-444553540000" codebase="http://download.macromedia.com/pub/shockwave/cabs/flash/swflash.cab#version=6,0,40,0" data-thumbnail-src="https://ytimg.googleusercontent.com/vi/9V8Zi4lT_wQ/0.jpg"><param name="movie" value="https://youtube.googleapis.com/v/9V8Zi4lT_wQ&source=uds" /><param name="bgcolor" value="#FFFFFF" /><param name="allowFullScreen" value="true" /><embed width="320" height="266" src="https://youtube.googleapis.com/v/9V8Zi4lT_wQ&source=uds" type="application/x-shockwave-flash" allowfullscreen="true"></embed></object></div>
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Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-482503606140478375.post-30906049942467139072014-03-29T12:47:00.002-07:002014-03-29T12:47:26.267-07:00Ce que j'ai joué récemment : Myst Online - Uru LiveLa mythique série d'aventure fait un bond audacieux vers le multijoueur. Il est dommage de voir l'expérience de l'utilisateur nuit par certains archaïsmes qui viennent d'une volonté méta. C'est peut-être grâce à cet aspect encré dans son univers que le jeu vie toujours auprès de sa communauté.<br />
<br />
Je tiens à remercier grandement mon ami Fred qui m'a servit de guide dans mon cheminement.<br />
<br />
<i>Shorah !</i><br />
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<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.youtube.com/embed/An22tqZRA2Q?feature=player_embedded' frameborder='0'></iframe></div>
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Unknownnoreply@blogger.com0