Edmund Mcmillen nous a habitué à la vie dure dans son magistral Super Meat Boy. C'était peut-être le point de départ pour Binding of Isaac. Le joueur s'acharnera constamment pour braver la difficulté dantesque du titre et en être récompensé. Puis, lorsqu'en situation de confort, on lui balancera un cran de challenges supplémentaire. Le design soigné et l'aléatoire rendra chaque session unique en difficulté sans être complètement impossible à chaque fois (ou presque). La nature très addictive du jeu fera que l'on voudra de plus en plus s'enfoncer dans cette enfer au risque d'y laisser une partie de son âme. Chaque victoire nous laissant nous rapprocher de ce que nous craignons ultimement. C'est sans doute la version de la Divine Comédie la plus amusante qui existe.
mardi 17 février 2015
Ce que j'ai joué récemment : The Binding of Isaac (PC)
Edmund Mcmillen nous a habitué à la vie dure dans son magistral Super Meat Boy. C'était peut-être le point de départ pour Binding of Isaac. Le joueur s'acharnera constamment pour braver la difficulté dantesque du titre et en être récompensé. Puis, lorsqu'en situation de confort, on lui balancera un cran de challenges supplémentaire. Le design soigné et l'aléatoire rendra chaque session unique en difficulté sans être complètement impossible à chaque fois (ou presque). La nature très addictive du jeu fera que l'on voudra de plus en plus s'enfoncer dans cette enfer au risque d'y laisser une partie de son âme. Chaque victoire nous laissant nous rapprocher de ce que nous craignons ultimement. C'est sans doute la version de la Divine Comédie la plus amusante qui existe.
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