samedi 15 mars 2014

Ce que j'ai joué récemment : Dear Esther

Si la notion de film interactif est toujours de plus en plus présente au sein du triple A occidentale, celle d'un roman interactif nous l'est moin. Même si Dear Esther ne cherche absolument pas la voie du Dating simulator ou du roman interractif japonais, on peut en remarquer les similitudes. Un gameplay absent de challenges, d'ingrédients et voir même d’interactivités. 
Le joueur erre en ligne droite en étant présenté à une narration qui semble extérieure et partiellement détachée. Narrations, qui sera unique à chaque joueur étant donné que chacun d'entre eux n'aurons pas les mêmes évènements et bouts de texte choisie aléatoirement.
L'oeuvre de The Chinese Room va à l'opposé du design traditionnel en refusant tout ''empowerement'' au joueur qui sera graduellement remémoré de son impuissance, sa lenteur et l'absence d'impact qu'il peu avoir sur son environnement bien jolie. Dear Esther est tragiquement fataliste, comme son histoire et son gameplay et c'est ainsi qu'il triomphe.


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