samedi 20 septembre 2014
Ce que j'ai joué récemment : Panzer Dragoon II Zwei
Plus gros, plus beau et mieux huilée, Panzer Dragoon II Zwei est le genre de suite que l'on aime. C'est un jeu d'arcade riche qui rivalise facilement avec Star Fox 64 et qui nous tiens du début à la fin. Le seul absent sur le tableau est évidemment la surprise. C'est un incontournable de la Saturn.
mardi 29 juillet 2014
Ce que j'ai joué récemment : Panzer Dragoon (Sega Saturn)
C'est Panzer Dragoon qui ouvre le bal de la Sega Saturn avec un combiné d'expériences proches de Sega, notamment Space Harrier et After Burner. La direction artistique se démarque de ses derniers par un certain lyrisme peu commun à l'époque. 2 ans avant Star Fox 64, qui le dépassera sur tout les plans, Panzer Dragoon est un jeu brute qui manque un raffinement technologique que seulement ses suites sauront donner. C'est le prix à gagner quand on ouvre la voie.
mercredi 16 juillet 2014
Ce que j'ai joué récemment : Quake 4 (PC)
Vu la nature culte de la série, il est étrange de voir ID software confié son bébé à Raven Software (Masi bon, après Doom III...). Heureusement, les grands principes de la série y sont de retour avec plaisir. J'aime particulièrement le fait que mon doigt à gardé la touche ''W'' pendant pratiquement toute la durée du jeu. Il est dommage de voir les développeurs perdre leur temps avec UNE phase de puzzle, quelques allers-retour pour appuyer sur des boutons et peu de nouveautés notables. Je ne me plaindrai pas d'avoir plus de Quake 2 au final.
mardi 15 juillet 2014
Ce que j'ai joué récemment : Contra Rebirth (WiiWare)
Un mix innatendu entre Contra III : The Alien War et Contra : Hard Corp. La série est toujours chouette mais cette timide entrée ne restera pas dans les anales par manque d'ambitions.
dimanche 13 juillet 2014
Ce que j'ai lu récemment : Beyond!
Une troupe de héros atypique se retrouve transportée par une entité, le Beyonder, sur une planète où ils devront se battre à mort pour retrouver le chemin de la terre. Ils découvriront assez vite que quelque chose cloche à cette prémisse familière.
Un livre à 5$, chouette ! Non, pas vraiment.
Une histoire avec des héros méconnu qu'on aimerait bien qu'ils soient charismatique pour justifier leur pertinence. Les enjeux dramatique manque alors complètement de poids. Ils sont même l'air plus idiot qu'autre chose quand on peux voir la faille dans leur plan 10 mile à l'avance. Les revirement ne font pas plus de sens. On arrive à la fin avec le sentiment que rien n'a été accompli. La référence à Secret Wars ne fait que me demander pourquoi je ne lis pas plutôt cette histoire à la place. Contrairement à ce que son auteur voudrait bien, la présence de violence gratuite ne donne pas non plus l'impression que les protagonistes sont des badass. Ça tombe plutôt dans le naze style années 1990s.
Ce même style qu'on retrouve dans le dessin complétement à la ramasse. Le manque de structure est accentué par l'encrage effectué à la va-vite. Les couleurs passent d'un extrême à l'autre avec des dégradé photoshop bâcles et des tons fluo. Ce qui nous donne au final un visuel très boueux.
Parfois, on cherche les aubaines dans les baques de solde. C'est quand même cool de trouver plein de BD pour pas chère. Puis, on se rend compte que certains livres ont une raison d'être à rabais. Beyond! se devrait d'y rester.
NB: Cudos à la couverture qui ment en suggérant un Spider-Man au centre de l'histoire. Il n'y est pas vraiment.
vendredi 4 juillet 2014
Ce que j'ai joué récemment : Quantum Conundrum
Si fortement comparé à Portal, Quantum Conundrum cumule les bévues que le jeu de Valve ne fait pas. Physique imprécise pour ce qui nous est demandé, narrateur qui se croit drôle (Malgré le talent de John Delancy qui fait avec ce qu'il a) et phases de plateforme bidons sont parmi les nombreux irritant du jeu. Résoudre un puzzle dans Portal nous offrait la satisfaction et le sentiment d'être brillant, Quantum Conundrum nous donne l'impression d'être un chimpanzé qui viens de gosser sur un manège débile pour recevoir une banane pourrie à la sortie.
vendredi 20 juin 2014
Ce que j'ai joué récemment : Prince of Persia
Je ne parlerai évidemment pas ici de la qualité de l'animation orchestré par le jeune Jordan Mechner. Mon point ici sera plutôt de vous exposer la transition du jeu d'arcade vers le jeu de salon et d'ordinateurs personnels qui s'est produite à cette époque.
Du début jusqu'au milieu des années 1980, la majorité des jeux vidéo s'étalaient sur un seul écran d'où un problème à résoudre était demander au joueur. Des pionier comme Richard Garriott (connu surtout pour la série Ultima) arriverons assez vite avec le moyen d'agrandir l'espace de jeu et donnant par le fait même de plus grandes capacités diégétique aux désigners.
Tout comme Legend of Zelda (aka le Skyrim de 1986), Prince of Persia était parmi ceux qui ont amené le jeu basé sur l'exploration. En revanche, la culture dominante du design Arcade est encore forte et Mechner insère dans son jeu l'élément du temps. Le joeur à 60 minutes pour compléter les 12 niveaux que composent Prince of Persia. On voit tout de suite le design classique du Risk vs Reward. Dois-je prendre le temps d'aller voir ce qu'il y a là au risque de perdre du temps?
Là où réside la contradiction est justement dans la mesure où on nous offre des niveaux qui peuvent être très vaste à esplorer et où nous sommes constamment pressé par l'horloge. Le joueur se voit l'obligation de se dépêcher ce qui le mène à faire davantage d'erreurs. Il ne pourra alors triompher que par pure mémorisation des niveaux qui, malgré leur mise en scène et navigation soignée pour l'époque, tentera à de nombreuses reprises de retarder le joueur dans sa quête. On notera d'ailleurs que l'élément temps sera tout de suite éliminé dans la majorité des suites de la série.
Mais, Prince of Persia ne fait pas forcément parti de ces jeux qui ont mal vieillis. On y prend goût vite par sa simplicité et il est fort recommandable ne serais-ce qu'à sujet d'études.
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