À ce point-ci, les codes narratifs et visuels de Delaf et Dubuc sont définitivement encrés autant dans leur progression que dans notre inconscient. Toutefois, on peu sentir une certaine audace de langage avec la présence de certains québécismes et un dessin qui se permet de plus importantes exagérations faciales que d’accoutumé. C'est à se demandé si le comité éditorial de Dupuis ont cru bon de les lâcher lousse. Le récit des adolescentes poursuit sont chemin de façon agréable. Même si l'histoire n'est pas révolutionnaire en elle-même, Dubuc sait y marier les principaux conflits de crises identitaires que vivent les adolescents sans virer trop gnangnan. Le dessin reste dans la continuité des précédents et saura mettre un certain impact aux moments clés.
vendredi 21 septembre 2012
Ce que j'ai lu récemment : Les Nombrils T5
À ce point-ci, les codes narratifs et visuels de Delaf et Dubuc sont définitivement encrés autant dans leur progression que dans notre inconscient. Toutefois, on peu sentir une certaine audace de langage avec la présence de certains québécismes et un dessin qui se permet de plus importantes exagérations faciales que d’accoutumé. C'est à se demandé si le comité éditorial de Dupuis ont cru bon de les lâcher lousse. Le récit des adolescentes poursuit sont chemin de façon agréable. Même si l'histoire n'est pas révolutionnaire en elle-même, Dubuc sait y marier les principaux conflits de crises identitaires que vivent les adolescents sans virer trop gnangnan. Le dessin reste dans la continuité des précédents et saura mettre un certain impact aux moments clés.
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